Benjamin Cayzac est jeune photographe talentueux Parisien ayant passé une partie de son enfance à Arles. C'est un véritable autodidacte.
Son arrière-grand-père photograveur chez Vogue, et son père passionné par le 8ème art, ont contribué à rendre cet univers familier et à développer son intérêt croissant pour la photographie.
Nous le rencontrons pour un Bla-Bla d'Arles 🎧 à écouter (ICI), dans le jardins du Cloitre des Carmélites a l'Hotel du Jules César.
Une collab' avec isabelle de mon Carnet a Mois.
Enfant, il comprend que la photo au-delà d’un moyen de conserver un souvenir, lui permet de s’exprimer et de retranscrire l’émanation dégagée aussi bien par les êtres, que par son environnement.
Il n’a plus qu’une idée : photographier ce qui l’entoure et tous ceux qu’il croise.
Cet attrait pour l’expression corporelle le pousse à s’essayer sur les planches et à entrer au Cours Florent.
Il y acquiert une certitude : il aime être derrière l’objectif, observer, guider pouvoir saisir ou mettre en scène l’instant fugace qui a su attiser l’attention de sa rétine.
Ses premières photographies sont des autoportraits puis des portraits de ses amis et des comédiens qui l’entourent. Il n’a dès lors de cesse de développer son propre sens de l’esthétisme.
Au fil de son parcours et des rencontres professionnelles, il travaille avec des studios et des photographes de renom tels que Jean Paul Goude, Javier Vallhonrat, Ingrid Mareski, Ishi, Nicolas Bets, Pascal Dangin, Nicolas Valois, Willy Vanderperre, Olivier Hadlee Pearch…
Également sur de nombreuses campagnes publicitaire et modes : Un jour ailleurs, Vogue Russie, Vogue Italie…
Il travaille aujourd’hui entre Paris le Sud et l’étranger au grès de ses shooting, et s’oriente également vers le reportage avec toujours une certaine esthétique qui lui est propre.
Ses photos sont exposées à la boutique, Citron à Paillettes, Pendant le festival L'été indeins à travers sa série "Invariance Nippone".
" je souhaitais mettre en lumière la singularité naturelle du paysage urbain japonais, résolument tourné vers une esthétique contemporaine tout en gardant une forte imprégnation traditionnelle et une identité qui lui sont propres. Un entrelacs de modernité et de coutumes que l’on retrouve également dans les interactions sociales quotidiennes.
Bien au-delà de l’idée reçue selon laquelle la modernité japonaise ne serait qu’un substitut de la modernité occidentale." Benjamin Cayzac
Credit Photo: Benjamin Cayzac
Credit Photo: Benjamin Cayzac